mercredi 25 avril 2007

Soyons tendance...!

Faisons fi de mes histoires de Gode-ceinture: la mode est au déballage d'idées sur la politique actuellement, donc je vais céder à tout ça et vous confier mon avis sur les deux candidats du second tour:

Déjà,...




Sinon,...






J'ajouterai que...









Pour conclure, je vous confie que je penche plus pour...








Voilà qui est pertinent, non?
Et qui résume bien mon avis. Une dernière chose: la peste ou le choléra, c'est mortel dans les deux cas. La différence, c'est qu'une se traite quand même un peu tandis que l'autre est mortelle dans 100% des cas! Autant choisir le moindre mal, et la rougeole, c'est peut-être mieux que de finir bleuté comme la peau d'un mort...

Moi? Pessimiste? Jamais! Je suis l'optimisme incarné!

PS: à ceux qui se disent "encore un con qui n'a pas d'idée et qui reste dans sa merde", je dirai "oui, mais, mon chéri, on est dans la même merde, même si tu as des idées dessus!"

lundi 16 avril 2007

Perspectives d’avenir… ?

Je préviens : comme prévu, article sur ma vie sentimentale et dédié à mon homme! Donc chiant et qui n’intéresse que moi… à bon entendeur… bon courage si vous décidez de lire quand même ! ;-)

Bon, ce n’est un secret pour personne, je suis en couple, avec un garçon merveilleux mais… merveilleusement loin ! Déjà, pour son égo et pour mon plaisir, je le décrirai en quelques mots : il est beau, intelligent, attentionné (même s’il ne s’en rend pas compte!), travailleur, gentil comme pas permis, sociable (presque trop!) et, pour couronner le tout, au lit, c’est un as ! Bref, rien à jeter, tout à garder ! Enfin… il est aussi brouillon, tête en l’air, pas très soigné ou prudent avec les choses (j’me comprends…), têtu et fier… Faut bien que je ramène son égo à un niveau vivable, sinon il voudra me mettre en esclavage ou me quitter pour mieux ! Pour moi, donc, le mec parfait, car un mec « trop gentil trop parfait», c’est chiant comme la pierre… J’ai un caractère de merde, et on s’accorde bien pour ça !

Tout irait bien dans le meilleur des mondes s’il n’avait décidé de faire carrière dans les langues… Qui dit langue, dit « apprendre sur le terrain ». Oui, cher lecteur, le niveau que tu as en anglais au sortir du bac te suffira peut-être à demander une bière dans un bar à Londres, mais pas à faire carrière dans la traduction ! Il est donc parti perfectionner sa maitrise de l’anglais pour, au moins, une dizaine de mois dans la capitale anglaise… Donc me voilà lancé dans une relation à distance ! Qui avait dit « des relations à distance ? Plus jamais ! Plutôt être seul ! » ? Gagné ! C’est bien moi… et comme toujours, on fait l’inverse de ses bonnes résolutions. La relation est difficile, car on ne peut pas se voir plus d’une fois par mois, mais on tient bon. Le plus dur, je pense, est franchis. Maintenant, on a trouvé un rythme sympa, je souffre moins de « crises de manque » et je me sens mieux dans ma relation. Il faut aussi dire un grand merci aux propriétaires de TF1 d’avoir lancé un forfait illimité le soir mais surtout comprenant les appels à l’étranger dans son abonnement ! Sinon, j’aurais déjà craqué !

On est mi-avril, il rentre début-courant juillet à Toulouse, on pourra même partager ma cage à poule tous les deux, donc je ne devrais pas me plaindre… Mais le problème, c’est que le monsieur, il est polyglotte, et qu’il me réserve un avenir sympathique. Déjà, il va peut-être tuer le temps en partant quelques mois en Allemagne pour y être assistant. Cool. Je déteste l’allemand, comme langue, je ne la parle pas du tout, et, pompon sur la pomponnette, ma très chère compagnie low-cost QueeryJet n’assure aucun vol à destination du pays aux 1000 variétés de saucisses depuis Toulouse ! Bref, pendant 6 mois qu’il risque de passer là bas, je le verrai… peut-être une fois ! Me forcerai à y aller, quand même, car découvrir un nouveau pays, c’est toujours sympa, même si on a de mauvais aprioris à son sujet. Mais pas plus. Car je suis pas crésus, moi ! Et le pire, c’est qu’après cet intermède allemand, il ne reviendrait pas poser ses pénates à Toulouse ! Ce petit séjour au Deutschkistan serait pour « boucher le trou » entre son retour à Londres et son départ probable pour… le Japon ! Je vous jure, des fois, je me dis que s’il existait une civilisation sur Mars, il irait là-bas pour étudier la langue… Et qu’est-ce qui l’attend à son retour du Japon ? Hé ben pas moins de deux années d’études en écoles de traduction sur Paris !

« Patricia, tu peux me rappeler où est ma zizine… ? »

Voilà. Donc moi, me reste quoi comme perspective… ? Dans l’immédiat, je ne me vois pas lâcher mon boulot de concessionnaire en godes-ceinture car, mine de rien, ça paye pas mal, tout ça ! D’autant plus si je veux prendre un prêt pour me construire la tite maison de 125m² avec piscine que je me prépare, là, le suivre à Paris pour deux ans, ce n’est absolument pas envisageable. Au vu de mon parcours pro et de mes formations, je me suis trouvé un boulot pas mal du tout, et si c’est pour retourner à bosser comme un con 6 jours sur 7 pour un misérable smic, non merci !!!

La raison voudrait que j’arrête là les frais (puis cet article, aussi… qu’est-ce qu’il est long et lourd ! Bordel, chuis pas prêt de devenir une star de la Queerysphère moi, comme ca !), mais depuis quand est-ce que j’écouterais la raison en matière de sentiments ? Rien ne se commande, malheureusement…

Donc me voilà obligé de me rendre à l’évidence : je vais l’attendre. Et bâtir. En espérant qu’il me reviendra un jour. Les regrets, dans mes quelques histoires sentimentales, j’en ai des kilos. Là, je n’ai pas envie de me dire « t’as été qu’un con, tu t’es pas accroché, t’as choisi la facilité » mais plutôt « donne-toi une chance avec ce garçon » car je ne me suis jamais senti aussi bien avec quelqu’un jusqu’à présent. Donc je fonce. Et advienne que pourra.

PS : mon homme, moi t’aime.

jeudi 12 avril 2007

On va régler nos comptes…

Bon, depuis que j’ai crée ce blog, je n’ai toujours rien écris pour ou à propos de mon homme. Et ce n’est pas quelque chose que je vais faire dans cet article ! Là, je vais commencer à régler mes comptes avec mes chers et tendres exs. Désolé, ce ne sera pas une tuerie sanglante avec hémoglobine au litre etc etc mais juste les paroles d’une chanson. Et en plus, ce n’est pas une chanson aigrie ou pleine de rancœur… bizarre, d’ailleurs ! Moi qui ai envie d’étriper à grands coups de gode-ceinture la plupart d’entre eux…

Il y a une paire de couplets d’ailleurs que je dédicace à mon homme, dans cette chanson, car ces paroles s’appliquent totalement à ce qu’on vit en ce moment avec notre relation à distance. Ce sont les deux premiers couplets du refrain. Ils seront en gras, et rien que pour mon homme… Merde ! Je parle de mon mec ! J’avais dis que j’allais étriper mes exs et parler de lui plus tard ! Shit !

Voilà donc ces quelques lignes de Zazie sur son dernier album dépressivo-réalistico-optimiste (oui, elle aussi mériterait de faire partie du club de tarés qu’on a monté !). La chanson s’appelle « ça ».


On oublie les adresses

Comme les gens qui nous blessent
On oublie sans cesse
Les jours d'anniversaires et nos clefs, les repères, on les perd
On oubliera les chaînes de nos vies qui se traînent
On oublie quand même
Mais il est une chose à laquelle nous resterons fidèles

Les yeux, la voix, les mains, les mots d'amour ça reste là
Le jour et l'heure, la peau, l'odeur, l'amour ça reste là
C'est fort encore
C'est mort d'accord
Mais ça ne s'oublie pas
Ne s'oublie pas, ça
On n'oublie pas

J'oublierai ce mois d'août où j'ai dû faire la route sans toi
Sans doute
J'oublierai ma défaite et le rêve qui s'arrête
J'oublierai peut-être
Mis j'y pense encore quelque fois et ça ne s'explique pas
S'explique pas

Tes yeux, ta voix, tes mains sur moi, toujours ça reste là
Le jour et l'heure, ta peau, l'odeur, l'amour ça reste là

C'est fort encore
C'est mort d'accord
Mais ça ne s'oublie pas
Ne s'oublie pas, ça
Je n'oublie pas

Les yeux, la voix, tes mains sur moi, les mots d'amour ça reste là
Le jour et l'heure, la peau, l'odeur, l'amour c'est là
On n'oublie pas

Les yeux, la voix, tes mains sur moi, les mots d'amour
Ca reste là
On n'oublie pas
Ca ne s'oublie pas

Le jour et l'heure, la peau, l'odeur, l'amour c'est là
On n'oublie pas
Ca ne s'oublie pas

Les yeux, la voix, tes mains sur moi, les mots d'amour
Ca reste là
On n'oublie pas
Je ne t'oublie pas

Le jour et l'heure, la peau, l'odeur, l'amour c'est là
On n'oublie pas
Je ne t'oublierai jamais


Je suis comme Zazie, pour le coup : des pensées tristes sur ce que certains de ces types m’ont fait subir ressortent sans prévenir, de temps à autre. En espérant qu’exorciser mes vieux démons me permettra de les faire sortir de ma vie… J’en ai une nouvelle à bâtir, et je pense avoir trouvé un bon candidat pour le faire ! Il ne sait toujours pas que ce blog existe, mais il le saura bientôt, à mon prochain article qui parlera de lui. Table rase du passé, à présent, j’ai –on- a un futur à vivre !

vendredi 6 avril 2007

Ayé, moi aussi je m’y mets !

Pour mon non-anniversaire, le WE dernier (oui, le vrai est passé il y a 3 mois de ça !), j’ai reçu le graal de la trentaine, l’ultime ustensile qui prouve que ma jeunesse part en sucette, que je vais irrémédiablement entrer dans le quota des « vieux » qui s’installent : Gauthier et Emma m’ont offert le livre « Déco par Valérie Damidot » !

Bon, je viens de redécorer tout mon appart, donc il me sera pas utile dans l’immédiat, mais il risque de m’être nécessaire dans peu de temps. Hé oui, le MisterBig va investir dans l’immobilier ! En plus, j’avoue mon péché, je ne veux pas investir dans un appart en centre ville, mais dans une tite maisonnette dans la campagne environnante…

Ca y est, les 3 lecteurs qui venaient, par hasard, de tomber sur ce blog, ont fuis devant les premières lignes de cet article en se disant « encore un chieur qui va nous parler de ses problèmes de tuyauterie ou d’installation électrique ! » Que nenni ! Je vais continuer à parler de bites en plastique, de godes-ceinture et de films porno, entre autres, c’est juste que je me taperai 1/4h à 1/2h de route de plus pour aller bosser ! Et à la base, je vais me faire ce ti nid douillet avec terrasse, barbecue et sauna/hammam intégré (et peut-être piscine !), le tout dans quelques mètres-carrés de terrain, pour moi, bien sur, mon homme, s’il le veut bien, mais aussi pour que les soirées que j’organiserai ne soient plus limitées par la présence des voisins ! Imaginez nos Gauthier et MisterB en dignes successeurs de « Priscilla, Folle du désert », à se fouler la cheville sur une motte de terre en pleine cambrousse ! Et avec option « tout le monde dort là » comme ça pas de problèmes de conduite en état d’ivresse.

Oui, je l’avoue, une de mes ambitions est que les orgies soient encore plus orgiaques ! C’est sale, mais qu’est-ce que c’est bon ! Puis la tranquillité de la campagne, ca me fera du bien, ca me reposera, car là, les travaux dans Toulouse, ça commence à me taper sur le système ! Je suis un vieux, faut que je me rende à l’évidence ! Puis il y a aussi le fait que, vu ce que je gagne, mon prêt, même sur 254 ans, ne me permettrait pas de trouver un appart sympa dans le centre, donc je pourrais juste me rabattre sur un appart en périphérie genre « quartier presque mal famé » comme celui où je suis actuellement… et le tout pour une somme exorbitante au vu des 25m² que ça donnerait ! J’en ai la preuve actuellement avec Emma, qui commence à trouver son appart un peu short… Son appart est super-sympa, la terrasse est presque aussi grande que le rester de l’appart, mais elle m’a dit l’autre jour que les murs commençaient à lui paraitre très présents… Gauthier prendrait volontiers sa place, car lui, il vit dans un placard, mais bon, je rappelle qu’elle aussi est plus proche de la trentaine que de la vingtaine !

Est-ce le syndrome dit du trentenaire qui nous touche ? Je ne sais pas… le fait est que moi, je ne veux pas me retrouver à l’étroit dans mes murs et ce avec un crédit à vie, donc je vais tabler sur du grand format à la campagne ! Et j’ose le dire (ca y est, je vais être banni de vos bonnes grâces après ça !) je vais probablement pas acheter une maison toute faite, mais construire moi-même, une maison en bois, selon toute évidence ! Allez-y, collez-moi l’étiquette de « beauf » que vous tenez à m’attribuer…

Encore un article pour ne rien dire, c’est sur, mais j’avais envie de le dire !

NB : Un jour, faudra que je trouve des sujets qui pourraient intéresser les lecteurs… ;-)

mercredi 4 avril 2007

And the winner is....

Ayé! Le premier internaute à s'être perdu sur ce blog par la magie des moteurs de recherche est arrivé! Enfin... le premier... le second! Le premier était tombé ici en tapant " - ", donc rien de bien pertinent... mais là, c'est la première recherche douée de sens!
Et deviner quoi...? A votre avis, il avait tapé "recherche philosophique sur le sens de la vie" ou encore "physique quantique appliqué à la théorie des quarks en zone de polarité inversé"...?
Que néni! Les doux mots qu'il (elle?) a tapé et qui l'ont mené à moi sont "Gode ceinture"!
Comment ça...? Personne n'est surpris? Moi non plus, rassurez-vous!

lundi 2 avril 2007

Le jour où je suis morte…


Petit bilan de la soirée de samedi soir en perspective !

D’un, des bloggeurs dans la place : 7h48, Gauthier, Spy, Emma, votre serviteur. On rajoute à ceux-là une vingtaine d’autres personnes.

De deux, plein de vodka dans la place, avec quelques autres alcools quand même…

De trois, des accoutrements formidables ! Une 7h48 en Candy, morte depuis longtemps d’une overdose (de quoi, on sait pas : vodka-pomme, peut-être ?), une Spy sexy à souhait (avec un nœud nœud formidable… on en reparlera plus tard !), un Gauthier issu d’un croisement entre une danseuse du Crazy-horse et d’un lapin russe cocaïnomane, une Emma habillé d’un timbre poste transparent et à peine défigurée, et ma poire digne d’une vielle drag-queen génétiquement améliorée avec des gènes de Véronique et Davina plus un soupçon de Joan Collins !

Mélangez le tout sur un fond de musique disco-pétasse et vous serez ravi du résultat !!!

Pour une fois, je n’attendais qu’une chose : que les flics se pointent à la soirée ! Là, j’aurais jouis de les accueillir dans « ma tenue de scène » ! Malheureusement, mes voisins sont en or, ils nous on laissé retourner le quartier jusqu’à plus d’heure… Le seul voisin qu’on ait vu est passé pour voir si on avait une boulette à lui filer… chose que fit le frère de Gauthier, ravissamment queeryssime dans des fringues qu’il avait du garder d’une ex-stripteaseuse, y compris les collants résille… Maman Gauthier, si vous lisez ces lignes, on y est pour rien si vos deux fils finissent avec des hommes ! On n’arrête pas de lui présenter des filles, mais il devient de plus en plus queer le petiot !

Bref. Les cadavres de mes exs gisaient de ci de là, un cœur à gauche, des os à droite, des cervelles dans un autre coin, un qui s’était pendu à l’entrée, etc… il y avait aussi des guests : le petit Grégory dans la baignoire et Britney Spears « emplumée » trônant sur ses fans. (Je ne dirais qu’une chose : Gauthier, viiiite, les photos !!!!) Un cadre idyllique pour une soirée de perdition… Je vous épargnerez les détails (Candy qui buvait à la seringue dans tous les verres, mais aussi : merci d’avoir vomi par la fenêtre, et de ne pas avoir laissé de traces de vos méfaits sexuels DANS MON LIT (bordel !), ca me fait moins de ménage !) mais autant dire que les invités ont eu l’air d’apprécier.

Comme dans highlander, il ne peut en rester qu’un. Bon, ici, il n’en est resté que 5 : 7h48, Gauthier, Spy, un pote parisien et moi-même. On a jeté les matelas de partout, perso, je me suis romantiquement endormi avec 7h48 dans les bras (des jaloux, hein ?) Une nuit de 5/6h plus tard, on se réveilla dans un marasme de bouteilles vides, de sol poisseux, de restes humains (nous y compris), avec une migraine relativement soft par rapport à ce qu’on pouvait craindre… La bataille la plus rude fut celle pour aller aux WC à tour de rôle soulager nos intestins malmenés par tant d’alcool.

Environ 1h30 après le réveil, les loques humaines que nous étions parlaient de tout et de rien, quand je senti un quelque chose de pas rattaché à mon corps dans mon boxer. Innocemment, je pensais qu’il s’agissait d’un peu de PQ qui avait servi à rembourrer mon corsage. Je plonge la main dans ledit sous-vêtement, et en ressort le ravissant nœud que Spy avait accroché à mes cheveux au cour de la soirée ! Un fou rire incontrôlable plus tard, on n’en sait toujours pas plus sur comment cet élément capillaire a atterri dans mon calebut !

Bon, là, c’est tout ce qui me revient en mémoire… Ha, si ! Hier soir, on a remis plus-ou moins ça avec 7h48 et Gauthier, mais seulement ½ bouteille de vodka et ½ bouteille de punch y sont passés. Et un resto sympa aussi !

Voilà qui est finit pour la soirée de samedi ! Maintenant, je serai moins pris par l’organisation de tout ça, juste pas un peu de rangement de temps en temps (j’ai encore retrouvé une boite de biscuits apéro sous mon lit y’a 10 minutes !) je pourrai plus facilement et fréquemment poster, j’espère !